Samedi 23 septembre. 1er déplacement de la saison.
4 voitures, pas moins !
18 motivés que 4 h de route vers « la Fin de la Terre » n’ont pas rebuté.
Rdv est donné à 10h30 pour un café avant de partir.
Répartition des 10 premiers partants et chargement des tambours faits, c’est dans la bonne humeur et sous un beau soleil que la route défile assez rapidement pour Gilles R., Marc, Christian, Jessica, Annick, Michel, Annie, Martine, Simon et Natacha.
A 13 h, une autre voiture part de Caen avec à son bord la nouvelle propriétaire du joli véhicule : Angélique mais aussi Céline, Dimitri et Robert.

Dans le même temps, Christophe rejoignait Gilles L, Estelle et Amaury sur l’A84.
Pause déj’. pour les 10, à Mont-Dol. Le décor est très joli, le temps est superbe (qui a dit qu’il pleuvait toujours en Bretagne ??) au point que l’on prolonge l’instant en prenant des photos, en prenant notre temps, en prenant un café et en prenant presque le chat-qui-louche en stop…
Les 4 bandes de joyeux drilles se retrouvent à 75 km de Brest pour une pause bonbons en plein air à défaut de trouver une station et du café.

Discussions sur le thème du hockey, vous l’aurez deviné, franche rigolade… et voilà que Simon nous confesse qu’il n’a jamais mangé d’artichaut… c’est l’étonnement général !
16h, Brest nous voilà ! On gare les voitures, on achète un journal pour savoir ce que les locaux pensent du match à venir et on prend un verre au troquet du coin. Là un péquin solitaire et bravache se lance dans un chant provocateur évoquant la suprématie de l’équipe de la Rinkla. Il ne connaissait pas la toute puissance des conquérants enfants de Guillaume de Normandie ! Les portes du bar ont tremblé, les mousses sont tombées au fond des verres, les enfants sont mouchés, le péquin est couché !!! non mais !!!
Dernière petite anecdote avant que d’atteindre le but de notre visite : à 2 pas de la patinoire, Michel trouve le moyen d’offrir à Simon son 1er astéracée ! L’histoire ne dit pas s’il a été mangé ou empaillé ?

Ensuite, bien que la billetterie ait eu bien du mal à gérer nos places, nous sommes autorisés à nous installer aux pourtours, sans pour autant pouvoir accrocher les banderoles aux couleurs caennaises. Les vigiles, pas très cools, nous obligent à laisser les bouteilles d’eau à l’entrée… dès fois qu’elles serviraient de projectiles… (mais ils nous prennent pour des hooligans ou quoi ?). En tout cas, les pauvres supporters que nous sommes ont drôlement soif parcequ’on s’époumone comme des acharnés. Mais on a de quoi être fiers car nos chants et tambours sont puissants et motivés. Même si on se refuse à payer des boissons au bar, certains tentent les frites locales… mais dites donc ?! ne pourraient-elles pas être considérées comme projectiles, elles ?
En tout cas rien n’a été lancé sur la glace ! On aurait pu jeter un filet sur l’albatros qui faisait des galipettes, des sauts et des ruades…. Une mouette sur des patins, ce n’est déjà pas courant mais une comme celle-là, c’est du jamais vu ! Les décollages d’Orville* n’ont rien à lui envier ! Martine rit aux éclats.
Et puis le match commence. Voir la feuille de match.
Nous sommes proches de la table de marque et des prisons. Alors quand Gabriel prend 2 minutes de pénalités (et oui, ça arrive…), on lui lance notre refrain « mourir d’amour enchaîné ! ». Même quelqu’un de sérieux comme lui ne pouvait que sourire en entendant son prénom chanté de la sorte !)
Bien que déçus d’avoir couru après le score tout le temps, nous acclamons nos Drakkars jusqu’à la fin.
A la sortie nous sommes amicalement attendus par les supporters Brestois avec qui nous prenons une photo-souvenir. Le hockey est un sport merveilleux.
La route du retour se fait avec un peu de fatigue, mais nos conducteurs sont déjà partants pour le prochain voyage !
Et au gré de belles rencontres, j’en connais qui vont vouloir revenir avec nous rapidement…..
(*pas Orville Wright hein ! Orville, l’albatros de Bernard et Bianca 😉
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